JULIEN HÉBERT, fondateur du design moderne au Québec
JULIEN HÉBERT, fondateur du design moderne au Québec JULIEN HÉBERT, fondateur du design moderne au Québec JULIEN HÉBERT, fondateur du design moderne au Québec
$34.95
Texte: Martin Racine
Éditeur : Les éditions du passage

CONTENU Essai, photographies et illustrations

DATE 2016
ISBN 9782924397251
FORMAT 18 x 25,5 cm
PAGINATION 256
LANGUE Français

Julien Hébert, pionnier dans l’émergence du design au Québec, a marqué les domaines du mobilier, de l’aménagement de l’espace, du design d’exposition, du graphisme, et a été le mentor de nombreux designers, dont Michel Dallaire. Nombre de ses œuvres sont célèbres, et certaines sont des jalons marquants de l’espace public : logo d’Expo 67, plafond du Centre national des arts à Ottawa, mobilier et espace du Canada à Expo 67, murales du métro Place-Saint-Henri et de la salle Wilfrid-Pelletier... Cet ouvrage exhaustif retrace la carrière du « père du design québécois », tout en abordant les retombées contemporaines liées à son œuvre. Il est enrichi de nombreuses photographies, d’illustrations, de dessins et de documents d’archives. Sous la plume de Martin Racine, c’est toute une époque, marquée par les débuts du design et de la quête du bel objet au Québec, qui prend vie.

CRITIQUES

« Sans Julien Hébert [...] le design québécois d'aujourd'hui serait bien différent. [...] Au fil des pages, entraîné par la plume intelligente et accessible de l'auteur, on découvre un individu curieux, talentueux, et surtout passionné par un domaine peu connu à l'époque. » — Esquisses

« Julien Hébert [...] est l'auteur de plusieurs projets exceptionnels. [...] Outre sa pratique et les traces visibles qu'il a laissées, il a milité pour l'enseignement et il s'est beaucoup impliqué au sein de la profession. [...] Pour Martin Racine, [...] le Québec est en train d'organiser sa mémoire collective en design et architecture. [...] Une belle et nécessaire matière mémorielle pour tous les étudiants et professionnels actuels en design et en architecture. »  — Sophie Duraniti, Le Devoir